En 1928, au restaurant Le Terminus, un membre du Club des 100 conseille de fuir les grands
vins et recommande les vins cadurciens (« bonne note » pour le millésime 1893). En 1929, une enquête agricole du
Ministère indique que les vins de Cahors son » chauds, moelleux, bouquetés, agréables à déguster, partageant à la fois aux
qualités des vins de Bordeaux par leur bouquet, leur bonne tenue et leur corps et aux qualités des vins de Bourgogne,
par leur chaleur, leur moelleux et leur finesse ».
