En avril 2016, Jacqueline FRIEDRICH a décidé de redécouvrir l’appellation Cahors, dont 15 ans plus tôt, une des cuvées l’avait particulièrement impressionnée. Aujourd’hui, c’est le vignoble tout entier qui l’enthousiasme, parlant de renaissance et même de révolution à son propos. Elle ignorait la diversité « impensable » des terroirs qui s’y trouve et qui selon elle est un atout majeur. Jamais elle n’aurait pensé y retrouvé la même géologie qu’à Chablis notamment (kimméridgien de l’époque jurassique). Elle n’imaginait pas non plus le dynamisme et le talent des vignerons actuels, qui passent au bio, qui élaborent des vins avec des acidités plus élevés, des maturités phénoliques parfaites. Et de conclure avec humour mais non sans vision : « Don’t cry for me Argentina ! ».
