Après une dégustation de vieux millésimes de Cahors en début d’année 2018, le journaliste Michel Bettane considère que « les meilleurs Cahors d’aujourd’hui sont supérieurs aux meilleurs Cahors qu’on faisait il y a 30 ans et auront peut-être des capacités de vieillissement largement supérieures ». Il constate par ailleurs que les différences de goûts, de parfums et de texture entre vins de Cahors s’expliquent par une évolution des vinifications, des élevages et par des différences de sols. Enfin, il se réjouit de constater que l’appellation Cahors bouge, cherche, essaie de comprendre ses terroirs. Pourtant, regrette-t-il c’est en France qu’on (re)connait le moins son évolution, et ce alors qu’à l’étranger on est déjà en train de les redécouvrir …
